Dans cette seconde partie, je vais vous présenter un homme déterminant dans l'exploitation charbonnière de la région d'Alès-La Grand Combe durant la seconde moitié du XVIIIe siècle. C'est un Normand entreprenant et téméraire que ce Pierre-François TUBEUF.
Découvrons son oeuvre et sa vie qui furent loin d'être un long fleuve tranquille.
TUBEUF : l'homme de la situation ?
Le premier article nous a décrit la longue réputation du charbon des Cévennes et son exploitation depuis, à minima, le milieu du Moyen-Âge. Mais celles et ceux, propriétaires qui ayant droit séculier d'en tirer profit, restaient sans motivations économiques plus poussées, bien souvent par la faute d'une recherche technique d'extraction plus moderne. Le charbon cévenol restait cantonné dans une zone fort limitée, alimentant l'unique marché local d'Alès.
Tubeuf possédait nombre des qualités intrinsèques exigées pour une telle entreprise. "Il faut tant de qualités dans cette profession : assez d'enthousiasme pour ne pas se rebuter aux premières difficultés, assez de sang-froid pour ne pas s'aventurer trop vite sur la foi de quelques brillantes espérances, assez d'étendue d'esprit pour voir de haut sans dédaigner les détails ; il faut connaître la physique, la chimie, la géologie, la mécanique. Le bagage scientifique n'est rien auprès des qualités morales que doit avoir un directeur de mines ; tout entier à son devoir, il doit être juste dans ce qu'il exige, clair dans ce qu'il ordonne, prompt à récompenser, lent à punir. Mais ce n'est pas encore suffisant ; avant de se hasarder à une entreprise dans un pays, on doit étudier le caractère de ses habitants, leurs préjugés, leurs habitudes, leurs coutumes" (extrait de Mémoire Académie de Nîmes – 1897 – Rapport de BARDON, Achille, "L'exploitation du bassin houiller d'Alais sous l'Ancien Régime" – p. 196).
Tubeuf n'est pourtant pas un homme issu d'une "génération spontanée", il est dans la droite ligne des premières initiatives qui modernisèrent les charbonnages du pays.
Dans ma région natale, le Nord-Pas-de-Calais, le charbon, les mines sont souvent associés à la ville de Lens, pourtant cette zone ne fut absolument pas la première à être exploitée (création de sa Compagnie en 1852). Car c'est en 1718 à Anzin, à quelques encablures au nord de Valenciennes (et de la frontière Belge), que Jean-Jacques Desandrouin (1681-1761) lança en précurseur, avec tout de même plus ou moins de difficultés, l'exploitation "moderne" du charbon dans la région... et en France puisque ses associés, les entrepreneurs Mathieu, conseilleront d'autres initiatives dans le pays à la même époque ! En moins d'un siècle, la Compagnie des Mines d'Anzin réussit à aller chercher du charbon jusqu'à 200 mètres de profondeur, possède 27 puits, 12 machines à vapeur et emploie 4 000 ouvriers.
C'est dans ce contexte qu'il faut voir la vie et l'oeuvre de Pierre-François qui naquit en 1730 dans l'Orne, dans la région de l'Aigle. Lorsqu'il arrivera dans nos Cévennes, Tubeuf est un homme déjà tanné par l'expérience... et l'échec !
Dès 1764 il a connu une première et laborieuse première expérience à Cransac dans le Rouergue (Aveyron) dans le futur et prospère bassin houiller de Decazeville. Terre connue depuis l'Antiquité pour son thermalisme, on peut assister en pleine nature à la combustion de pyrite de fer s'échappant en panaches des entrailles de la terre, d'où le nom local de "montagne qui brûle" ! Malgré ses efforts jusqu'en 1770, Tubeuf bute là sur des gisements peu riches (pour l'instant) et surtout se heurte aux résistances locales ; ainsi est-il pourchassé pendant plus d'une heure et demie par des paysans un poil anglophobes puisqu'ils le prennent pour un "'Anglais" ! Une mésaventure qui se renouvellera dans sa vie !
Point découragé, Pierre François Tubeuf descend en ce début 1770 un peu plus vers le sud. Chargé par M. Henri Bertin (1720-1792), contrôleur général des Finances, de mettre en valeur les mines de lignite, le voilà à Saint-Paulet-de-Caisson près du Comtat Venaissin, ancien nom de l'enclave pontificale dont le fleuron bien connu est la cité-état d'Avignon. Il n'y reste pas contraint par la géopolitique. Franchissant juste le Rhône, Tubeuf demande une prospection et une propriété à Carsan, non loin de Pont-Saint-Esprit (Gard). Là encore, les résultats sont peu concluants.
Opiniâtre, Tubeuf dépense sans compter, croit un moment être en mesure d'approvisionner Paris en charbon via des tentatives (infructueuses) d'extraction à Saint-Germain-en-Laye, et s'assure un personnel compétent. On trouve à côté de lui, à ce moment là, deux commis mineurs venus de Bretagne, des charpentiers, des manoeuvres et même des Allemands "plus habiles et n'exigeant pas des salaires plus élevés".
1770 : ET TUBEUF vit la "terre promise" des CEVENNES
Courant juillet 1770, un courrier de Tubeuf mentionne ceci : "je suis allé dans les Cévennes du côté de Saint-Ambroix où il y a beaucoup de charbon ; j'en ai vu d'excellent dans la montagne (...) Le seul défaut de ce charbon étant d'être trop vif, j'ai pris le parti de le mêler par moitié avec celui de Saint-Esprit qui est un peu lent (...)". En Décembre, Tubeuf enthousiaste écrit : "le mélange du charbon d'Alais avec celui du saint-Esprit, en rendant ces deux mines utiles et propres à tous les usages, aux forges comme aux fabriques, procurerait les moyens de consommation du premier, en diminuant les frais considérables de son transport, par la qualité qui y entrerait du second qui se trouve à la portée du Rhône".
Le raisonnement de Tubeuf est de limiter drastiquement l'emploi du charbon de bois (préserver les forêts en bordure de la Méditerranée), développer l'économie et la sidérurgie par l'utilisation d'un combustible localisé rendant ainsi absurde l'idée d'importer massivement du charbon venant d'Angleterre, voir même de le concurrencer !
Mais Tubeuf est là encore un suiveur. Dès 1746, l'Abbé de Sauvages, éminent homme de science d'Alès, confirmait, dans un mémoire ("Observations lithologiques") adressé à la Société des Sciences de Montpellier, la présence et la qualité du charbon entre Anduze et Villefort, et plus spécifiquement autour de sa ville et dans le vicomté de Portes. En 1766, et bien que son expertise soit moins bonne que celle de Tubeuf, il ne faut pas oublier les prospectives de M. Antoine de Genssane, ingénieur mineur, émissaire des Etats du Languedoc dont la mission fut d'établir les potentiels miniers dans ces temps de pénurie de bois de chauffage. Genssane collabora d'ailleurs activement avec Tubeuf.
Mais au final, c'est bien le nom de Tubeuf qui reste dans la mémoire. Son objectif est clair : faire main basse sur une vaste zone minière des Cévennes, mais pour cela il doit démontrer sa compétence et sa bonne volonté aux autorités royales. Le 19 Janvier 1771, il écrit : "Les mines de charbon de terre les plus considérables sont dans le département et à environ 3 lieues d'Alais, aux endroit nommés La Forêt et Trouillas, et dans le département et à environ 10 lieues du Saint-Esprit, du côté de Saint-Ambroix, à Courry, Rochessadoule et Portes. Je suis entré dans la plupart de ces mines exploités sans aucun ordre ; j'ai vu beaucoup de mines abandonnées faute de facultés et de connaissances des propriétaires ; il y en a beaucoup d'endroits où l'on a jamais fouillé (...). Il n'en résultera pas d'inconvénient pour les propriétaires, puisque je leur payerai le bénéfice clair qu'ils retirent de leurs mines, ce que ferai de même proposer au prince de Conti pour qu'il retire des siennes. Je préposerai aussi un bon mineur pour la conduite de toutes les autres exploitations particulières, utiles pour l'usage du pays, afin d'y éviter les accidents... Je donnerai toujours la préférence aux ouvriers du pays dont j'occuperai grand nombre...".
Mais l'affaire va traîner pendant de longs mois ; dans cette société d'Ancien Régime, loin d'un dirigisme "jacobin" centralisateur, il faut encore en passer par de laborieux débats avec les autorités régionales, à savoir les Etats du Languedoc ou convaincre l'entreprenant dernier archevêque de Narbonne, Arthur Richard Dillon (1721-1806). Il faut bien comprendre que malgré la position royale de 1744, imposant à toute extraction l'autorisation du Contrôleur des finances, la propriété privée restait pleine et entière. Tubeuf, souhaitant fermer l'extraction privée et contrôler, exploiter en solitaire, ne pouvait à terme que liguer contre lui les uns et les autres, cultivant les rancoeurs de la noblesse locale.
Pourtant, par un arrêt du Conseil du Roi en date du 24 mars 1774, Tubeuf se voit attribuer les mines qu'il a découverte ou découvrira dans les environs d'Alais et de Saint-Ambroix, auxquels on lui ajoute l'administration d'un vaste territoire compris entre Pont-Saint-Esprit, Laudun, Uzès, Anduze, Villefort, Aubenas et Viviers ayant Barjac au centre.
TUBEUF et SES INNOVATIONS TECHNIQUES d'EXTRACTION
Les débuts de l'exploitation sont laborieux, les résultats des découvertes très fluctuants. Par exemple, à la Banne (la Pigère) les belles veines de charbon sont inexploitables en raison des eaux souterraines ; à Rochebelle (Alès), la production n'excède pas les 300 quintaux par mois etc....
Mais pourtant, le fier Tubeuf investit à tout va, et trouve même des solutions modernes pour mener à bien l'exploitation, établissant aux yeux de tous ses capacités. Il écrit le 2 février 1775, qu'il fera près d'Alès "commencer demain une galerie principale au pied de la montagne du mas de Boat, à sept pieds seulement au-dessus du niveau de la rivière. Cette galerie coupera à angle droit toutes les couches de charbon de cette montagne et écoulera toutes les eaux qui ont obligé les gens du pays à renoncer si souvent à exploitation..." Tubeuf invente le principe du "drain collecteur", une galerie principale d'où, au lieu de suivre seulement une veine comme auparavant, on pourra chercher plus librement le bon filon, tout en évacuant l'eau souterraine.
On lui doit aussi l'introduction d'un moyen de locomotion permettant d'évacuer à moindre mal le minerai prélevé dans ces galeries. Délaissant les corbeilles et hottes, améliorant le principe de la brouette, voilà la "berouette", un petit wagonnet en bois plein cerclé de fer, présentant deux trains de roues, l'une d'un diamètre supérieur à l'arrière. Pour sa mobilité, ces roues suivent des couloirs de chêne parallèles. De 5 à 6 cm d'épaisseurs, ces couloirs ("menèches") sont l'origine des voies de chemin de fer ; le déplacement créant un grincement ressemblant aux aboiements d'un chien, il fut appelé "chien de mine", cela étant dit, Tubeuf ne jugea donc pas utile l'emploi, comme moyen de traction, de canidés comme on le croit parfois !
1777-1795 : TUBEUF ET SES PUISSANTS DETRACTEURS
Inévitablement les succès notables de Tubeuf vont lui aliéner les locaux jaloux. Des libelles contre le charbon tentent brusquement de dénoncer ces mauvais effets sur la santé, sa prétendue corruption sur l'état de la vigne, des meubles ou des vers à soie ! D'autres lui enlèvent par corruption ses ouvriers, sabotent son travail. Mais rien de pouvait arrêter vraiment Tubeuf, dûment propriétaire par la volonté royale, à moins que d'éminents personnages ne lui soient vraiment opposés. Et c'est ce qui arriva à partir de 1777.
Le Prince de sang, Louis-François-Joseph de Bourbon, Prince de Conti (1734-1814) est jusque là le seigneur d'Alais (depuis 1630) et possesseur depuis 1693 du château de Portes (jusqu'en 1781). Fils de l'illustre Louis-François de Bourbon-Conti (1717-1776), un aristocrate de sang royal, opposant notoire à son cousin Louis XV ; c'est un ami des philosophes des Lumières, un mécène et protecteur par exemple de Beaumarchais. Jusqu'à présent, Tubeuf avait entretenu de bonnes relations avec les Conti, mais le fils, contraint par la dilapidation de sa fortune par feu son père, vendit le 27 Mars 1777 sa seigneurie à Charles-Eugène-Gabriel de la Croix, plus connu sous son titre de Marquis de Castries (1727-1801).
Originaire de Montpellier, la famille de la Croix de Castries compte au sein de la noblesse du Languedoc. La rivalité du Marquis avec Tubeuf, son mépris de classe évident tiennent aussi à l'immixtion de cet étranger dans l.(s)es affaires locales. Le Marquis prit conscience du fort potentiel de son sous-sol, mais il en était dépossédé ; sa décision fut rapidement prise, tout faire pour récupérer les propriétés charbonnières de Tubeuf.
Ainsi commença le fastidieux travail de sape d'un Marquis de Castries, au fil des ans, de plus en plus puissant puisqu'il sera tout de même Maréchal de France et Ministre de la Marine pendant sept ans à compter de 1780... ce qui aboutira par l'étonnante constitution d'un éphémère Collège Royal Naval à Alès de 1786 à 1791 !
Le 19 Mars 1782, Tubeuf se voit confirmer à priori ses droits de 1774, mais dans le même temps « que le roi donne acte au sieur de Tubeuf de son consentement à ce que les mines dites de la forêt d'Abilon et de Mas-Dieu soient distraites de sa concession, et, en conséquence, Sa Majesté permet au sieur marquis de Castries d'exploiter les dites mines, sauf audit marquis à se retirer par devant Sa Majesté pour obtenir, s'il y a lieu, la permission d'exploiter les autres mines situées dans ses propriétés. » La nette opposition entre les deux hommes, l'un se prévalant du droit, l'autre de la coutume, se trouvant de facto prise, à ses dépends, dans une révolte antifiscale locale... 1782 et 1783, le Gard et l'Ardèche sont au prise avec "les masques armés".
Le temps n'arrangeant rien à l'affaire, malgré des décisions royales qui lui sont défavorables, De Castries s'arroge le droit, sachant que tôt ou tard il gagnera, de récupérer certaines concessions et mines, notamment à La Grand Combe.
La violence des temps culminera dans le cas de Tubeuf, le 21 Mai 1784 sur les hauteurs de La Grand-Combe, sur la concession et non au château de Trouillas. De nos jours, toujours visible dans la végétation, ce château n'est plus qu'une ruine. On mentionne qu'il fut pris d'assaut en Mars 1703 lors de la guerre des Camisards. Sa démolition fut décidée par la Compagnie minière locale il y a quelques décennies.
« Le 3 mai suivant, je me transportai sur la paroisse de
Trouilhas avec trois huissiers, qui crurent, d'après les menaces qui leur avaient été faites, devoir se faire escorter par un détachement d'invalides. J'aurais regardé ces précautions comme inutiles si M. le maréchal de Castries avait été sur le lieu ; mais il était représenté par des agents plus jaloux de se parer à ses yeux d'un zèle coupable, que de montrer leur soumission aux décisions émanées du trône, et ils ne le prouvèrent que trop. J'avais consenti, par respect pour M. le maréchal, à leur accorder un délai de quinze jours ; en conséquence, nous nous retirâmes et ne revînmes que le 21 du même mois ; mais à peine nous vit-on paraître, que, sans égard pour le caractère d'officiers de justice, sans ménagement pour l'uniforme dont les invalides étaient revêtus, mes huissiers et leur escorte furent assaillis de pierres ; plusieurs d'entre eux en ont été blessés. Quant à moi, j'eus le malheur d'être atteint d'une pierre lancée avec tant de force, qu'elle me brisa trois dents et me fit une ouverture au dessous de l'oeil que j'ai perdu peu de temps après... Dans la crainte de rendre cette scène plus sanglante, nous nous sommes éloignés de ces furieux, pour lesquels il n'y avait rien de sacré. »
Blessé physiquement, Tubeuf le sera aussi moralement : ses appuis à la Cour, bien que tentant de sauver les apparences dans les textes, sont à compter d'Octobre 1784 puis en Novembre 1788, totalement en faveur des intérêts de De Castries. Entre 1785 et 1788, dépité, Tubeuf revend ses parts et ses concessions, entre autre à l'abbé de Bréard, avant de subitement faire machine arrière et revenir dans l'aventure. Cette triste fin ne doit pas faire oublier les beaux résultats obtenus par Tubeuf dans la modernisation des mines d'Alès, sans oublier de mentionner la création de la verrerie de Rochebelle (1788 - Alès).
La période révolutionnaire est contre toute attente, une vengeance froide pour Tubeuf. Le Marquis de Castries émigre dès Octobre 1789 (ses biens sont donc confisqués) et participera, lui l'ancien défenseur de la France, à l'armée des Princes qui envahira son pays en 1792 aux côtés des coalisés Austro-Prussiens.
De son côté, Tubeuf, semble un moment plus confiant, tente d'attirer à lui les vues d'hommes tels que Mirabeau, de dire tout le potentiel que la France aurait à lui donner une seconde chance, mais au final il décide, avec sa femme Marie-Marguerite Brochet, ses deux fils, Pierre-François et Pierre-Alexandre (1774-1821) et 30 domestiques, de s'installer dans une riche propriété de l'autre côté de l'Atlantique.
Le 15 Mai 1791, Tubeuf quitte définitivement la France. C'est dans le Comté de Russell en Virginie, un jour de Mai 1795, que Tubeuf tombe, attaqué et tué par des Indiens.
Les Tubeuf, mère et fils, n'en reviennent pas moins en France, avec tout de même quelques difficultés car émigrés (acte du Directoire - Novembre 1796), et tentent d'obtenir une reconnaissance. La loi de Juillet 1791 donne en théorie les mines à la Nation, mais dans l'octroi des concessions une priorité aux propriétaires fonciers ; dans un premier temps, le bilan Tubeuf étant ce qu'il est, les autorités Consulaires sont en leur faveur. Mais, l'éternelle bataille reprend avec le retour des émigrés, donc des De Castries. L'Empire attribue à ses derniers en 1809, les meilleurs terrains : ceux de La Grand Combe. En 1820, les Tubeuf récupèrent les mines de Rochebelle, mais moins énergique et sans le capital financier de leur aïeux, ils les vendent vite à la Compagnie des Fonderies et Forges d'Alès, qui elle même les transmettra vite à la Société des Houillères jusqu'à la nationalisation de 1946.
Notons pour terminer que le petit-fils, Pierre-Emmanuel Tubeuf (1808-1891) vivra en Alèsien, sera conseiller municipal, maire (1871).
Recherche et rédaction : Maxime Calis - guide-conférencier - Décembre 2019
Sources documentaires :
RIVELAINE, Hubert - Balade en sol mineur : les mines du bassin houiller d'Alès - Ed. Le Plein de Sens - 2005
HUARD, Raymond - compte rendu sur l'ouvrage de Gwynne Lewis, The advent of modern capitalism in France, The contribution of Pierre François Tubeuf, 1770-1840 - Annales historiques de la Révolution française, n°305, 1996. pp. 565-566
GALY, Guy-Roland - Les Annales du Midi - 1969 - "L'exploitation des houillères en Languedoc et le marché du charbon au XVIIIe siècle" pp. 163-195.
Académie de Nîmes - Mémoires de l'Académie de Nîmes. 1897 - BARON, Achille - L'exploitation du bassin houiller d'Alès sous l'Ancien Régime
Société d'agriculture, histoire naturelle et arts utiles de Lyon - Annales des sciences physiques et naturelles, d'agriculture et d'industrie - 1868 - MALINOWSKI - Essai historique sur l'origine et le développement de l'exploitation du charbon de terre dans le bassin houiller du Gard.
Revue cévenole (Alais). 1905/07-1905/12 - PEYRE, Léon - Note sur la houille et le terrain houiller d'Alais -
Écrire commentaire